Sonko à Rfi, Procès Sonko – Adji Sarr : Les grosses révélations du journaliste Oumar Seck Ndiaye (Vidéo)

Oumar Seck Ndiaye s’est prononcé, mardi, sur l’actualité nationale. Dans un entretien spécial accordé à Senegal7, le journaliste a épluché la récent entretien de Ousmane Sonko à Rfi et France 24, le procès en diffamation devant opposer Mame Mbaye Niang au président de Pastef, la sortie du ministre de la justice Ismaila Madior Fall sur la candidature de Macky Sall en 2024, la libération de détenus politiques entre autres sujets.

Le journaliste se veut clair sur cet entretien inattendu entre les médias français (Rfi et France 24) et le leader de Pastef Les Patriotes. Selon Oumar Seck Ndiaye, si les journalistes Christophe Boisbouvier et Marc Perelman ont décroché cet entretien avec le principal Opposant au régime de Macky Sall, c’est pour permettre à la France d’avoir la position de Ousmane Sonko sur la France – actuellement discréditée dans pas mal de pays dont le Mali et le Burkina Faso – mais aussi sur la Russie qui ne cesse de gagner du terrain au détriment de l’Hexagone.

Ousmane Sonko gagne en visibilité dans l’Hexagone 

Et dire que le maire de Ziguinchor n’est pas tombé dans ce piège pourvu qu’il a rassuré la France [ qu’il n’a rien contre elle] et surtout en signifiant qu’il souhaite que les relations entre les deux pays soient gagnant-gagnant. Mieux, indique le journaliste, à travers cette sortie qui gênerait Macky Sall, Ousmane Sonko a gagné en visibilité en ce sens qu’il s’est adressé directement aux français par une voie « officielle » que sont les télévisions « France 24 et Rfi ».

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Procès en diffamation sur l’affaire Prodac

Si d’aucuns émettent déjà des craintes pour le futur procès en diffamation entre Ousmane Sonko et l’ex ministre de tutelle du Prodac, Mame Mbaye Niang, tel n’est pas le cas pour Oumar Seck Ndiaye. Qui n’accorde pas d’importance à ce feuilleton judiciaire pourvu que le leader de Pastef a le droit de remettre en cause la gestion de M. Niang. « Qu’il (Ndlr : Mame Mbaye Niang) soit épinglé par le rapport de l’IGE ou de l’IGF, c’est n’est pas ce qui est important. Le plus important c’est qu’il soit reconnu coupable de ces détournements« , a martelé le journaliste.

Détails dans cet entretien :

Birama Thior – Senegal7

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