« Juste deux choses en direction des jeunes de mon cher pays » (Par Imam Makhtar KANTE)

1. N’acceptez jamais que quelqu’un vous « impose » l’image qu’il veut vous faire retenir d’un individu donné. Faites montre de votre libre arbitre, et votre propre observation et réflexion de ce que vous vous voyez dire où faire l’individu en question.

Peu d’entre nous appliquent cette démarche de prudence et de vérification que le Coran nous enjoint d’adopter « fatabayyanû ». Satan nous fait préférer le plus facile mais aussi le plus proche du péché et de l’injustice envers autrui : il paraît que…degnaa… neenagnu… nirunako…

Même après observation et réflexion, on peut se faire une fausse idée d’une personne, ne parlons pas de ce que nous ignorons les uns des autres… Jamono jii gnu nekk Ku teeyul and ak dal saysaayi dinagnu fowee sa xel defloola bakkar toognloola ay diambour banopi wacc la ci biir.

Dara jarou Kofi, Ken jarou kofi

2) Voici deux liens que Sunu Boroom tient pour sacrés : le lien conjugal et le lien de parenté, buumu sëy ak buumu mbokoo. Seul ce qui les rend meilleurs, au sens de bonne entente, doit être l’intention de quiconque y intervient. Mais de nos jours, quand on voit ou entend ce que les gens sont capables de dire et faire entre deux époux ou deux parents ou deux amis…sa yaram day daw…

Luci waay di wax ak di dox na nekk rek ngir defar boudee safaan sunu boroom nga amal affaire…
Imam Makhtar Kanté