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Marième Faye chez Wade, Samuel Sarr chassé comme un malpropre, l’apriste Malaw Sow exige la libération de Khalifa Sall, les thèmes de l’actualité sur Senegal7

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La Première dame, Marième Faye Sall, était allée rendre visite à l’ancien Chef de l’Etat, Me Wade, chez lui à Fann-résidence. C’était le jour de la fête de la Tabaski. Juste pour un “ziar” comme cela se fait de coutume les jours de fête. A cet effet, “La lettre du continent” avait écrit que Marième Faye Sall avait été éconduite du domicile du Secrétaire national du Parti démocratique sénégalais (Pds).“Faux”, dit Libération dans sa livraison de ce jeudi. Pour nos confrères de Mermoz, “La lettre du continent” a raconté une fausse histoire. Car, lorsque Madame Sall est arrivée chez Wade, le vigile lui a fait savoir que le maître des lieux a demandé qu’il n’allait personne recevoir cette soirée.

Juste après l’arrivée de la première dame à Fann résidence ou elle n’a pu voir le président Wade, Samuel Sarr, le propriétaire du site Xibaaru.com, est arrivé sur les lieux. Il était dans une autre voiture. Ses relations avec Me Wade étant très distendues depuis quelques mois, des ‘’amis communs’’ voulaient profiter de la Tabaski pour les réconcilier. Ces derniers voulaient que Samuel Sarr ‘’ancien Wadiste Eternel’’, présentent ses excuses au président Wade. Malheureusement, lui non-plus n’a pas pu voir le secrétaire général national du PDS. C’est ainsi qu’ils ont continué leurs courses.

Khalifa Sall dont les avocats seront aujourd’hui devant la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar pour essayer de le tirer d’affaire a bénéficié  hier d’un soutien inattendu. Celui du tonitruant député apriste de Nioro Momath Sow plus connu sous le nom de Malaw. Ce dernier membre fondateur de l’APR a fait une sortie pour exiger la libération de Khalifa Sall selon Vox Pop.Le président du conseil départemental de Nioro dit être mû que par la vérité. « Khalifa Sall, je ne lui ai jamais serré la main. Pour moi, le moment est venu d’en parler. Je ne demande pas sa libération pour qu’on me jette des fleurs. Je n’ai aucun besoin de cela, Khalifa Sall est un député par la volonté des populations », dit-il.

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