Modou Lô / Balla Gaye 2 du 13 janvier : A quitte ou double !!!

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Le stade Léopold Sédar Senghor sera le théâtre de la revanche du siècle le dimanche 13 janvier prochain. Une confrontation qui va opposer Balla Gaye 2 et Modou Lô. Un duel très attendu pour départager les deux frères ennemis de l’arène. A quitte ou double qui a tout son pesant d’or.

21 mars 2010, la première confrontation
La dernière confrontation entre Balla Gaye 2 et Modou Lô s’est tenue le dimanche 21 mars 2010 au stade Demba Diop. Un duel à l’époque organisé par le promoteur Luc Nicolaï qui avait cassé sa tirelire pour le décrocher.
Une première confrontation remportée haut la main par Balla Gaye 2 au bout seulement de 21 secondes combat et de signer par la même occasion la première défaite de Modou Lô dans l’arène. Depuis beaucoup d’eau a coulé sous les ponts mais leurs chemins vont se croiser de nouveau. Ce sera le 13 janvier dans le temple du football sénégalais,le stade Léopold Sédar Senghor. Une affiche de rêve, de feu signée par la structure IACOM en collaboration avec le promoteur Gaston Mbengue. Un revanche qui vaudra le déplacement puisque les deux lutteurs après avoir affûté leurs armes à l’extérieur: Modou Lô en Espagne et Balla Gaye 2 en France à l’INSEP de Paris veulent en finir pour de bon.

L’heure de solder les comptes
L’heure du règlement de solder les comptes va ainsi sonné pour de bon. Dans l’enceinte, il faudra ainsi s’attendre à de chaudes empoignades puisqu’ils jurent sur tous les saints qu’ils se bagarrer jusqu’à ce que le sang gicle. De ce fait Ardo aura du boulot le 13 janvier prochain. Modou Lô dans sa quête de conquérir un jour la couronne de Roi des arènes piaffe de rétablir les pendules en terrassant avec la manière Balla Gaye 2 pour être quitte avec sa conscience. Son adversaire ne l’entend point de cette oreille, il veut doubler la mise pour montrer sa suprématie à Modou Lô. Il vise le 2 à 0 pour doubler à jamais l’enfant des Parcelles Assainies. On va donc vers un quitte à double très disputé où la moindre erreur risque fatale pour l’un comme pour l’autre.
Amadou FALL / SENEGAL7

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