En vue des élections présidentielles du dimanche 24 février 2019, les politiciens pêchent dans les eaux de l’arène nous renseigne nos sources. Actuellement, ils sont en train de recruter certains lutteurs de la place afin que ces derniers leur assurent leur garde rapprochée.
Le monde de la lutte dans son ensemble à commencer par le président du CNG Alioune Sarr, le président des amateurs de lutte Doudou Diagne Diécko doivent se lever comme un seul homme pour éradiquer ce fléau. Depuis quelques années maintenant, les politiciens recrutent chez les lutteurs. Si certains y trouvent leur compte en négociant de mirobolants cachets, d’autres par contre sont utilisés comme des nervis ou de faire le sale boulot. Une pratique malsaine que les lutteurs ne devaient point accepter et dire niet. Ils ne doivent être le bras armé d’un quelconque politicien. Si ces derniers veulent des gardes rapprochés, ils n’ont qu’à aller recruter chez els judokas, karatékas et autres. Mais sachant que ces derniers n’accepteront jamais de faire ces sales boulots, ils jettent tous leur dévolu sur les lutteurs. Ils devront prendre conscience qu’il y a des risques, énormément de risques. La prison pour des fautes graves. C’est à éviter pour ne pas pourrir à Rebeuss.