S’il faut tout pour faire un monde, il en faudrait autant pour craindre le pire au Sénégal où présentement, le Covid-19 continue de faire ses marques avec 47 infectés dont 5 guéris.La marge de progression du virus laisse penser que le mode de transmission a pris de l’avance sur les mesures préventives édictées par le ministère de la Santé et de l’Action sociale. Mais là où le Sénégal est vraiment en danger, ce n’est pas seulement sur la dangerosité du virus mais bien sur la fermeture des Mosquées. Satan a réussi son œuvre consistant à faire fermer les lieux de culte ou comme tel. Or, si le Sénégal tient toujours sur ses rênes, c’est parce que ses lieux de culte et ses Mosquées jouent un rôle de bouclier par rapport à Satan. Ils nous protègent des affres de Satan et de ses combines les plus sordides. Nous avons vu comment la violence et les tueries d’enfants et de femmes ont connu une recrudescence dans notre pays. Nous vivons des atrocités qui ne relèvent pas seulement de l’aspect sociétal mais bien de la volonté de Satan de désagréger la société sénégalaise de moins en moins regardant à la pratique religieuse. Les guides religieux ne sont pas du goût de la fermeture de ces lieux de prière car ils savent ce que cela peut engendrer comme conséquences dans ce pays.Le Coronavirus est toujours de l’ordre de Satan qui se fait le malin plaisir à faire fermer les Mosquées pour mieux accabler nos compatriotes dépourvus du bouclier que Dieu les a légués .A savoir l’arme de la prière. Maintenant que Satan a réussi à épouser le visage du Coronavirus, il se frotte les mains pour avoir réussi de nous priver de nos lieux de prière pour mieux nous détruire. Le Sénégal n’a jamais été aussi exposé que du temps de ce virus tueur qui nous exhorte de fermer les Mosquées ou de périr. Quel sacrilège de l’ordre contingent au pays de la teranga. Diantre !
Assane SEYE-Senegal7
