Il est difficile pour les coalitions de partis de confectionner les listes d’investitures en vue des Législatives du 30 juillet. Ceci est dû aux contestations notées au sein des dites alliances. Une bombe à retardement donc, sachant que les listes officielles peuvent elles aussi réserver des surprises et de nouveaux remous dans le sphère politique.
Du côté du régime en place par exemple, Aminata Touré est un exemple réel de cette difficulté notée dans le choix de certains politiques au détriment des autres.Toutefois, Thérèse Faye, Dg de l’agence de la petite enfance, questionnée par nos confrères de la RFM, tient à recadrer le débat.
Selon elle, «le président Macky Sall a pris des décisions qu’il faudra respecter. C’est un engagement envers le parti et la coalition qu’il sied de respecter. Ce n’est donc nullement une question de personne».
Se projetant sur le futur de ladite coalition, la coordonnatrice nationale de la Cojer juge que «les enjeux doivent primer dans ce combat. Réélire le président Macky Sall en 2019 reste le principal objectif».
avec Senegal7
