Dans sa lettre, que nous vous proposons ci-dessous, le président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) dit sa disponibilité tout en laissant entendre qu’il n’y aura rien de nouveau sous le soleil.
Il dit : « J’ai l’avantage de vous faire part, conformément aux dispositions de l’article 54 du Code de procédure pénale, de ma disponibilité à être entendu pour les informations à ma possession qui, pour l’essentiel, ont été contenues dans ma lettre-plainte en date du 13 février 2018, déposée au bureau du procureur de la République, le 14 février 2018. »
IBRAHIMA/SENEGAL7