Sur le bord du terrain, il est actif. L’entraineur algérien se meut, en effet, au rythme de son équipe. Le gestuel abondant, Djamel Belmadi affiche un air pleurnichard qui lui donne l’impression d’être toujours au bord des larmes. Mais faut pas se fier aux apparences. Malgré ses airs inoffensifs, le coach algérien a des arguments à revendre et ils ne sont pas que techniques. Pire, ils sont souvent illégaux. A l’image de son équipe, Djamel Belmadi est un bon acteur. Quand un de ses joueurs simule une faute (ce qui est fréquent), il complète le job en bondissant et vociférant en direction de l’arbitre. Cet adepte du principe selon lequel « la fin justifie les moyens » aime induire en erreur les juges qui commettent l’erreur de se fier à ses gesticulations. Alioum Néant, l’arbitre de la finale, est averti…
Mbissane TINE-Senegal7
