Ce voleur à main armée utilisait un masque au visage noir pour qu’un noir soit incriminé à sa place

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Les faits se sont déroulés dans l’Ohio.
Un homme blanc a plaidé coupable pour six vols à main armée. Ce dernier utilisait un masque noir si réaliste que la police a d’abord arrêté un homme noir pour ses crimes.

Zdzierak a volé environ 15 000 $ dans quatre banques, ainsi que dans une caisse de crédit et une pharmacie en mars et en avril.

Des crimes pour lesquels des témoins ont déclaré que le voleur était noir, ainsi qu’une vidéo de surveillance montrant un homme noir.

La ressemblance masquée de Zdzierak avec l’homme noir qui a été initialement arrêté était si forte que certains témoins ont même identifié une photo de l’homme noir comme étant celui qui les avait volés, a déclaré McDowell.
Le bureau du procureur ne divulguera cependant pas le nom de la personne injustement accusée.

Zdzierak a été arrêté dans un hôtel après que sa petite amie ait appelé la police après avoir vu des rapports sur les vols et avoir trouvé deux masques et de l’argent tachés d’un colorant utilisé pour traquer les voleurs, a rapporté The Cincinnati Enquirer.

McDowell a déclaré que son client avait acheté les masques de SPFXmasks, basé à Van Nuys, en Californie.

Les masques en silicone «ressemblent et se comportent comme de la vraie chair et du muscle», dit le site Web de l’entreprise.

Le propriétaire Rusty Slusser a déclaré mardi que les masques de son entreprise sont normalement achetés pour des films, Halloween, des maisons hantées et des spectacles, mais le cas de l’Ohio n’était pas la première fois qu’ils ont été utilisés à des fins criminelles. « Nous ne tolérons aucune activité illégale avec nos masques », a déclaré Slusser.

La mère de l’accusé à tort a même pensé qu’une photo du suspect de vol qu’elle a vu à la télévision était une photo de son fils.

Conrad Zdzierak, 30 ans, a plaidé coupable lundi dans le comté de Hamilton, en Ohio, d’un chef de vol qualifié et de cinq chefs d’accusation de vol dans un accord de plaidoyer avec des procureurs. Vérifiez-le en action.
Il risque jusqu’à 35 ans de prison lors de sa condamnation le 7 janvier.

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