Déstabilisation du Burkina par la Côte d’Ivoire : Guillaume Soro et le RHDP réagissent

L’ancien Premier ministre et ancien Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a réagi aux récentes accusations portées par le président de la transition du Burkina Faso, Ibrahim Traoré. Lors d’une rencontre avec les Forces vives de la Nation il y a quelques jours, Ibrahim Traoré a surpris beaucoup en accusant l’État ivoirien d’abriter un centre d’opérations visant à déstabiliser son pays. Ces allégations de la junte militaire au pouvoir au Burkina Faso ont déclenché des réactions passionnées.

Silence officiel, réactions officieuses

Le gouvernement ivoirien n’a pas encore officiellement répondu à ces accusations. Cependant, lors d’une conference de presse Adjoumani Kobenan,porte voix du RHDP a souligné que selon Yop L.fri:

« Il nous accuse, il dit qu’il a des preuves, mais nous attendons. Nous sommes un pays de paix, un pays d’hospitalité, la terre promise où tous ceux qui se sentent persécutés dans leur pays peuvent venir se reposer »

 Guillaume Soro, connu pour ses positions tranchées, n’a pas tardé à exprimer son opinion sur cette situation tendue.

La Réaction de Guillaume Soro

Guillaume Soro, dans une déclaration récente, a exprimé sa surprise et son indignation face aux accusations de Traoré. Il a souligné l’importance de la coopération et du dialogue entre les nations voisines pour maintenir la stabilité et la paix dans la région. Soro a également appelé à une enquête transparente pour vérifier les allégations et dissiper tout malentendu entre les deux pays.

Alors que la situation évolue, les observateurs continuent de surveiller les réactions des deux côtés. Les relations entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso sont cruciales pour la stabilité régionale, et toute escalade de tensions pourrait avoir des répercussions importantes. Les appels au calme et à la diplomatie, tels que ceux exprimés par Soro, seront essentiels pour éviter une crise diplomatique majeure.

En attendant une réponse officielle du gouvernement ivoirien, les spéculations et les analyses vont bon train. Il est clair que cette situation nécessite une attention particulière et une gestion prudente pour maintenir l’harmonie dans la région.

                                                                                                                         Sara Jupiter   Senegal7