Barthélémy Dias a nié catégoriquement les accusations portées sur sa personne concernant la mort du présumé nervi Ndiaga Diouf en 2011.
« Je n’ai pas tué Ndiaga Diouf. J’ai fait des tirs de sommations sans viser personne », a soutenu Barthélémy Dias, maire de Mermoz Sacré-Cœur, jugé hier en audience spéciale.
En effet, selon le journal Le Quotidien, Dias fils se dit n’être impliqué ni de près ni de loin dans ce meurtre et indique d’avoir « procéder à des tirs de sommations pour disperser les assaillants qui avaient commencé à bloquer les issues menant à la mairie ».
Poursuivant ses propos, le maire de Mermoz indiquera que « la scène était infiltrée par ce qu’il y a des gens qui tiraient sur la foule ». Des propos qui suscitent beaucoup de scepticismes parce que qu’étant à l’antipode de ce qu’il clamait à l’époque des faits. Puisque le responsable socialiste déclarait à son temps par téléphone sur les Radios et télés – au moment où l’opinion ignorait qu’il y’avait eu mort d’homme – avoir tiré sur des assaillants et invitait la presse à faire le tour des hôpitaux pour retrouver les baissés par balles.
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