Meilleure défense des éliminatoires (2 buts encaissés seulement), la Roumanie sera le premier adversaire de la France lors de la compétition. La sélection roumaine compte donc d’appuyer sur son arrière-garde pour empêcher les Bleus de commencer par une victoire, au stade de France.
(Top from L to R) Defender Cosmin Moti, Forward Bogdan Stancu, Defender Cristian Sapunaru, Midfield Mihai Pintilii and Goalkeeper Ciprian Tatarusanu.
(Bottom from L to R) Midfield Ovidiu Hoban, Midfield Nicolae Stanciu, Midfield Adrian Popa, Forward Florin Andone, Defender Razvan Rat and Defender Dragos Grigore / AFP PHOTO / DANIEL MIHAILESCU
Pour sa première participation à une phase finale de Championnat d’Europe, l’Albanie, emmenée par Lorik Cana et Elseid Hysaj, tentera de sortir de son groupe, où tout reste abordable. Les Albanais seront les deuxièmes adversaires des Bleus.
Troisième adversaire des Bleus dans la compétition, la Suisse n’a pour le moment pas de réelles certitudes, mais espère sortir de son groupe. Attention tout de même à Breel Embolo et Xherdan Shaqiri, qu’il faudra surveiller de près.
Composée essentiellement de joueurs évoluant localement, la Russie semble bien placée pour sortir de son groupe. Dzyuba, qui a fait très mal à l’Olympique lyonnais en Ligue des Champions, sera le leader de l’attaque.
Le Pays de Galles va participer pour la première fois de son histoire à un Championnat d’Europe, et les Gallois souhaiteront marquer le coup, en battant pourquoi pas l’Angleterre. Gareth Bale sera bien évidemment le principal danger de cette équipe, avec Aaron Ramsey.
Pour sa première participation à un Championnat d’Europe, la Slovaquie compte sur Marek Hamsik pour tenter de sortir de son groupe, où tout est jouable.
Qualifiée pour la compétition après avoir battu la Slovénie en barrages, l’Ukraine, forte de quatre victoires en autant de matchs de préparation, pourrait tirer son épingle du jeu dans son groupe.
Deuxième de son groupe de qualifications à un point de l’Allemagne, qu’elle retrouve dans son groupe, la Pologne pourrait bien être une des surprises de cet Euro. Pour cela, il faudra un Robert Lewandowski en pleine forme.
Northern Ireland made it a record 10 matches unbeaten as Conor Washington underlined his case for a place at Euro 2016 with the goal that clinched a 1-0 friendly win over Slovenia. / AFP PHOTO / PAUL FAITH
Vainqueur de l’édition 1976, la République Tchèque ne réussira sans doute pas à rééditer cet exploit, mais pourrait tout de même bien embêter ses adversaires, avec son dernier rempart, Petr Cech.
(Bottom L to R) Vladimir Darida, Tomas Rosicky, Ladislav Krejci, Josef Sural, Theodor Gebra Selassie
(Up L to R) Pavel Kaderabek, David Pavelka, Michal Kadlec, goalkeeper Petr Cech, Tomas Necid and Tomas Sivok / AFP PHOTO / Michal Cizek
Qualifiée en tant que meilleure troisième lors des éliminatoires, la Turquie aura fort à faire dans un groupe très équilibré. Le coach, Fatih Terim, pourra néanmoins compter sur Arda Turan ou Burak Yilmaz pour faire la différence.
Menée par Luka Modric, Mario Mandzukic et Ivan Rakitic, la Croatie pourrait bien être l’une des surprises de cet Euro, après avoir terminé à la deuxième place de son groupe de qualifications, derrière l’Italie.
Qualifiée en tant que barragiste, l’équipe irlandaise n’aura pas la tâche facile au vu des adversaires présents dans son groupe. Elle pourra néanmoins compter sur son attaquant légendaire, Robbie Keane, qui évolue aujourd’hui en MLS (LA Galaxy).
Qualifiée en tant que barragiste après avoir eliminé le Danemark, la Suède a bien l’intention de gêner la Belgique et l’Italie avec, comme atout principal, un certain Zlatan Ibrahimovic, qui dispute peut-être son dernier Euro.
(Groupe F)
Emmené par Cristiano Ronaldo, le Portugal a plutôt hérité d’un groupe à sa portée, qui devrait lui permettre de se qualifier en huitième de finale sans trop de soucis. La Selecção pourrait même être un sérieux outsider lors de cette compétition, avec un effectif vieillissant, mais de qualité.
/ AFP PHOTO / ADRIAN DENNIS
Pour sa première participation en phase finale d’un Euro, l’Islande arrive en France avec un objectif : sortir de son groupe. Et cette équipe sera à surveiller, puisqu’elle a réalisé une très belle phase de qualifications, en s’offrant notamment les Pays-Bas. Attention à Gylfi Sigurdsson, qui sera le danger principal de cette équipe.
Pour sa deuxième participation à une phase finale d’un Championnat d’Europe (la première était en tant que pays hôté, en 2008), l’Autriche arrive confiante avec un parcours presque parfait lors des élminatoires (9 victoires et seulement un match nul). Il faudra bien évidemment se méfier de David Alaba, Christian Fuchs ou encore de Marko Arnautovic.
Il sera difficile pour la sélection hongroise de réaliser un meilleur parcours qu’en 1964, où elle avait terminé à la troisième place du tournoi. Cependant, la Hongrie pourrait bien sortir de son groupe, pas très relevé.
