Le Sénégal doit s’engager dans l’agenda LGBT et dépénaliser l’homosexualité révèle-t-il dans sa rubrique Questekki reprise par Rewmi Quotidien.
« Comme le peuple y est hostile, cela se fera en douce et astucieusement : introduction des droits d’autrui, article 25 de la constitution en 2016, interdiction de parler de l’orientation sexuelle dans le code de la presse en 2017 et le clou devait être la criminalisation des actes contre nature pour les mineurs cachée dans celle du viol lors de la modification du code pénal en 2020 », souligne-t-il.
Mamadou Lamine Diallo dit comprendre mieux les propos en français de Macky Sall devant l’insistance d’Obama et Trudeau : « Laissez-nous le temps d’y arriver à notre rythme ».
« Dans la soi disante opposition, il y a des partisans de l’agenda LGBT», a-t-il déballé. «Le plus surprenant est le candidat à la mairie de Dakar Pape Diop. On lui fait dire que le Sénégal n’est pas un État islamique. »
Le Khalife général des Mourides a tranché la question dans un écrit de portée universelle : « l’homosexualité est un crime contre l’humanité, un crime contre Dieu ».
« On ne peut pas accepter la capture de notre État par des pro LGBT tapis dans l’ombre de manière poltronne dans BBY ou certains partis dit d’opposition », alerte le député.
Un des porteurs du projet de loi portant criminalisation de l’homosexualité, il révèle que les lobbies LGBT préparent un «coming out» (sortir du placard, c’est l’annonce volontaire d’une orientation sexuelle, d’une identité de genre ou d’une variation naturelle du corps.) . Ce, au mépris du règlement intérieur de l’Assemblée nationale.
Diaraf DIOUF Senegal7