Sa mort a été suspecte, le chef du comité inter-villageois alors qu’il s’apprêtait à déféré pour la seconde fois à une convocation de la gendarmerie dans le cadre de l’enquête ouverte sur le carnage de la forêt de Bofa, le 06 janvier dernier avait défrayé la chronique. Victime d’un malaise au moment de se rendre à la gendarmerie, une révélation a été faite par le journal L’Observateur.
Ainsi, l’on apprend que Bourama Toumboulou Sané a inhalé un produit toxique létal pour mettre fin à ses jours. Il reprochait aux villageois de ne plus les appuyer dans sa lutte contre l’exploitation de la foret.
Senegal7.com
