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Sortie de Diallo Diop : Le parti dissous Pastef rejette le Plan B, Sonko confirmé…

Le parti dissous Pastef a réagi au débat sur un éventuel plan B pour remplacer Ousmane Sonko comme leur candidat à la présidentielle. Le secrétaire général par intérim, Ayib Daffé précise qu’ils n’ont aucun plan B et que le leader reste leur unique candidat. Il souligne que l’éligibilité de ce dernier est intacte. Selon le député, il n’y a pas de notification de la radiation de leur leader des listes électorales.

« Rien n’a changé. Certes, on a tenté de dissoudre le parti de manière injuste, arbitraire et illégale. Il y a l’arrestation du président Ousmane Sonko, son kidnapping, sa détention arbitraire . Et il est en aujourd’hui, pour protester contre ces actes arbitraires qui dépassent le cadre politique, en son 32e jour de grève de la faim« , déclaré sur Rfm le parlementaire.

Ousmane Sonko

Dans la foulée, il indique que jusque là, les militants, les sympathisants, les responsables du parti dans leur unanimité sont toujours convaincu de la « justesse, de la nécessité et de la pertinence de la candidature du président Ousmane Sonko qui est le favori à l’élection présidentielle du 25 février 2024. »

Ayib Daffé ajoute qu’il  ne voit pas l’intérêt de chercher un plan B. La seule option pertinente, démocratique insiste-t-il, c’est la candidature de Ousmane Sonko « parce que c’est elle qui a été ratifiée par le parti. »

Lire aussi : PLAN B DE PASTEF : LE REMPLAÇANT DE SONKO « PEUT AVOIR LA CHANCE DE GAGNER… » (PR MOUSSA DIAW)

Radiation

Très en verve, le secrétaire général par intérim qualifie d’imaginaire la radiation de Ousmane Sonko des listes électorales. Il précise qu’aucune notification n’a été faite. « Une radiation obéit à une procédure qui est prévue par des textes. Et cette procédure, en ce moment là, nous n’en avons aucune connaissance. Ce qui est constant, c’est que le président Ousmane Sonko jouit de ses droits civils et politiques et il répond à toutes les conditions exigées par l’article 28 de la Constitution et l’article 29 et le Code électoral », a-t-il conclu exigeant la libération immédiate et inconditionnelle.

Birama Thior – Senegal7

 

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