Terrorisme : « Les familles religieuses sont infiltrées… », selon Capitaine Dièye

Le Capitaine Mamadou DIEYE alerte  sur les relents du terrorisme qui semblent infiltrer les arcanes des foyers religieux. Pour l’ancien officier reconverti en politiciens, les signaux sont au rouge. Pour ce faire, il a affirmé qs des foyers religieux. Pour l’ancien officier reconverti en politiciens=, les signaux sont au rouge. Pour ce faire, il a affirmé qu’au nom de la démocratie et de la liberté, il croit dur comme fer qu’on est en train d’exagérer face aux enjeux que l’on devrait prendre très au sérieux.

Sans porter de gants, le Capitaine Mamadou Dièye analyse avec froideur le vote du projet de loi relatif au terrorisme. Selon lui, Ce projet de loi mentionne le mot terrorisme et c’est peut être ce qui gène, indique-t-il.

D’après lui, il est complexe parce que c’est de la géopolitique dans la géostratégie où des mots comme la politique et la diplomatie changent en fonction des multiples visages de l’intérêt par rapport au niveau de pays et aux grands ensembles d’espaces qui sont nos premiers facteurs de pays à extrême fragilité ,relate senego.

A son avis, notre insécurité à tous part de là car jusqu’à ce jour, c’est rare que l’on insiste sur le vrai sens du mot insécurité que l’on confond souvent avec ses dérivés. Pour le leader du mouvement “NIT”, le Sénégal des années 80 n’est pas celui de 2021.

L’indisponibilité des terres, le réchauffement climatique, les comportements humains face à la ressource, la démographie sont autant de choses qui nous interpellent à plusieurs niveaux de sécurité. “Les quatre méthodes du terrorisme suivant chaque caractéristiques de pays montrent clairement que les familles religieuses sont infiltrées, que ce pays est infiltré.

C’est un secret de polichinelle à moins qu’on choisisse de faire semblant”, révèle-t-il. Selon l’ancien officier de l’armée nationale, le Conseil supérieur de La Défense doit d’abord mettre un terme au conflit casamançais et à l’engagement de l’armée dans le sud et s’orienter vers une restructuration de la pensée tactique vers le Mali et le Sahel.

Et on jouera ainsi sur la flexibilité des forces pour aller en amont et mieux prévenir.“Enfin, l’Etat doit se mettre au premier plan et expliquer aux Sénégalais ce qui nous attend. Ceux qui semblent être contre cette loi sont des habitués de combats démocratiques.

À chaque fois qu’ils sont interpellés, ils sont relâchés. Donc l’Etat n’a rien contre eux. Si nous sommes dans ces combats chacun à sa manière, sachons raison garder pour notre bien à tous”, ajoute-t-il.

Assane SEYE-Senegal7