Face à la crise scolaire qui perdure, la Fédération nationale des associations de parents d’élèves et étudiants du Sénégal (Fenapes) s’est mobilisée pour réfléchir sur l’urgence d’y trouver des solutions. La Fenapes prévient qu’elle n’acceptera pas que les enfants soient sacrifiés.
Les tribulations qui continuent de miner l’école sénégalaise ont atteint un point de non retour que la Fédération nationale des associations des parents d’élèves et étudiants (Fenapes) fustige avec la dernière énergie. A l’issue de leur rencontre d’hier, le bureau restreint élargi aux quatorze présidents des unions régionales de la Fenapes s’est prononcé sur la crise scolaire qui perdure. Les membres de cette instance alertent l’opinion, les syndicats d’enseignement et l’Etat de leur inquiétude et du grand désarroi des parents, des élèves et étudiants quant à leur avenir face à la situation désastreuse qui prévaut, a déclaré Babacar Badiane. D’après le président de la Fédération nationale des associations de parents d’élèves (Fenapes), il s’agit du quantum horaire qui se trouve très entravé, des évaluations du premier semestre sur l’étendue du territoire national qui n’ont pas été faites dans certaines inspections d’académiques. Selon la Fenapes, cette situation porte préjudice aux élèves et étudiants. M.Badiane : « l’heure est grave et tend vers la catastrophe si toutefois on ne met pas fin à cette crise qui perdure », peste-t-il. « Au Président de la République, nous demandons d’agir encore dans le sens d’améliorer davantage le sort des enseignants, bien sûr dans les limites soutenables des finances publiques sénégalaises et exiger d’eux la signature d’un pacte de stabilité sur les 10 ans à venir »,indique Bacary Badiane,président de la Fenapes.
Senegal7.com
ÉCOLE PRIVÉE- ARNAQUE EN COURS, escroqueries répétées
—— SOUS DEMANDE D’ANONYMAT ——
Madame, Monsieur,
J’attire votre attention sur le management éminemment toxique de l’ÉCOLE de COMMERCE DE LYON (ECL), située au 41 rue de la Charité, Lyon 2e (France) où le Directeur M. Hervé DIAZ, un étrange personnage qui, sous des allures bonhommes et humanistes, dirige l’établissement de façon tyrannique, paie et vire les enseignants et les personnels quand cela lui chante, au mépris total de la loi et des contrats établis !
Concrètement je tiens à votre disposition une lettre ouverte de mes collègues qui a été publiée sur Google et bizarrement escamotée depuis (!) ainsi que d’autres pièces judiciaires (lettres recommandées d’injonction, multiples textos et courriels de réclamation des sommes dues par l’ECL et réponses ou non réponses de M. DIAZ) en 2023, candidat sans étiquette à la 9ème circonscription de Dakar, pour des élections législatives partielles.
À l’école le matériel est souvent obsolète, manquant ou sinon défaillant, les plannings de cours sont chamboulés en permanence, comme les profs, les étudiants livrés à eux-mêmes… Une dizaine de personnes ont quitté leur poste écoeurées par ces pratiques insupportables ou se sont vus remerciées ou black listées pour avoir protesté contre ces méthodes. Indice: le personnel est quasiment exclusivement composé d’étudiants en alternance (donc « captifs », soumis), étudiants venus pour la plupart du continent africain où M. Hervé DIAZ a installé un réseau de recrutement, à Libreville au Gabon, à Dakar au Sénégal notamment. Ils paient chacun(e), d’après nos informations, 7000 Euros l’année d’études à l’ECL et se disent « harcelés » par la trésorerie de l’école, pressée d’encaisser les dividendes en provenance des familles sénégalaises, gabonaises, algériennes, ivoiriennes, etc.
Stupéfaction quand on lit cette déclaration de M. DIAZ en 2023 dans lepetitjournal en ligne de Dakar : « je suis abasourdi de l’inconséquences de nos politiques nationales, de la malhonnêteté ou de l’ineptie de certains élus qui se servent systématiquement avant de servir, quand encore ils servent. Le contraire de ma ligne de vie : servir sans se servir. »
Quelle ironie, quel incroyable toupet, surtout quel cynisme ! Mais cela résume tristement ce personnage d’inspiration colonialiste uniquement préoccupé par sa propre personne et son pouvoir sur autrui.
Car, le même M. DIAZ a été condamné par le Tribunal Judiciaire de LYON le 2 Août 2022, pour avoir exploité sans état d’âme le nom de domaine «peyrefitte-bts.fr» pour des services d’enseignement. Sa « société ELEGANCE a contrefait les marques «Peyrefitte Sport» n°3756067 et «Peyrefitte santé-social» n°4218695 s’agissant des services d’éducation et de formation.
Mon intention, je le précise, n’est pas de nuire puisque j’enseigne encore à l’ECL (et pour cette raison je ne peux pas, pour le moment, apparaître ouvertement mais je peux vous donner toutes les informations et contacts utiles) en espérant chaque jour depuis mars 2025, pour ma part, un virement pour un total d’environ 3000 E impayés. Mon intention est par contre que ce type d’agissements ne continue pas de nuire à des dizaines de personnes, étudiants y compris puisque ce sont eux qui finalement subissent les effets délétères de cette situation absolument ubuesque et paient le prix fort pour décrocher un diplôme. Je peux bien entendu vous indiquer des noms pour témoignages.
Pour finir, un journaliste de BFM Lyon, M. Axel Aragon ( tel : 06 99 73 42 42) a commencé un reportage TV sur ce sujet en interviewant des collègues et en se rendant à l’école pour enquêter. D’autres organes de presse sont informés de la situation en France et en Afrique où tout commence. Je vous laisse mon contact pour répondre à vos questions, si vous le souhaitez :
Pierre Lestel (nom d’emprunt), ex- journaliste à France 3.
Tel (réel) : + 33 6 18 94 27 43
En vous remerciant de votre compréhension.
Cordialement.