Atelier de formation sur le décaissement avec la BAD: 1 630 milliards FCFA pour l’essor de 39 Projets

Les chargés d’ordonnancements du ministère des Finances et du Budget ainsi que les experts de la Banque africaine de développement (BAD) etaient en conclave ce jeudi. Quid de l’objectif : la mise sur pied d’un atelier de formation sur les procédures de décaissement . Cet événement vise à améliorer la maîtrise des pratiques de décaissement parmi les participants.

 

Yan IL Boudo, chargé de portefeuille de la BAD, a souligné selon l’APS l’importance de cette formation. Selon lui, l’acquisition de compétences en procédures de décaissement permettra aux experts financiers du ministère des Finances et du Budget de réduire les risques de rejet et de faciliter l’accès aux fonds.

 

Objectifs de la Formation

L’objectif principal de cet atelier est de certifier les bénéficiaires en matière de procédures de décaissement. Cette certification est cruciale pour assurer une gestion efficace des financements et optimiser l’utilisation des ressources allouées par la BAD.

 

Portefeuille Actif de la BAD

Yan IL Boudo a également rappelé que le portefeuille actif de la Banque africaine de développement comprend 39 projets, totalisant un engagement de 1630 milliards FCFA. Ces financements sont répartis comme suit :

  • Transport : 30%
  • Agriculture : 20%
  • Secteur financier : 15%
  • Énergie, assainissement et TICS : 35%

Importance de la Collaboration

Cette collaboration entre le ministère des Finances et du Budget et la BAD est essentielle pour assurer la bonne gestion des projets financés et pour maximiser les avantages des investissements. La formation des responsables d’ordonnancements en procédures de décaissement est une étape clé pour garantir l’efficacité et la transparence dans l’utilisation des fonds.

Cet atelier marque une étape importante dans le renforcement des capacités des experts financiers et dans l’amélioration de la gestion des financements publics, contribuant ainsi au développement durable et à la croissance économique.

 

                                                                                                                    Sara Jupiter  ,  Senegal7

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